Après avoir consacré une partie de ma vie dans le domaine de l’entreprise, j’ai ressenti le besoin de développer une autre approche de l’humain et par là même me redéfinir en tant qu'individu.
En me formant à la sophrologie, j'ai pris conscience du rôle de chacun dans son propre bien-être et au-delà du bien-être, dans sa vie.
La Sophrologie n'impose rien. Elle guide, propose et replace la femme et l'homme que nous sommes en tant qu’acteur principal pour décider de son existence grâce à ses propres potentiels, parfois oubliés, parfois insoupçonnés.
Cette science de la conscience nous apprend à nous connaitre, à nous repositionner, à faire face à nos angoisses, nos interrogations, nos peurs. Ces états si courants qui nous "alertent" sur une dysharmonie dans nos vies, plus ou moins profonde, plus ou moins chronique.
En intégrant des thérapies dites "holistiques" (qui s'adressent au corps, aux émotions, au mental et à l'âme) un travail plus profond peut être mené en apportant de la conscience là où le flou, l'incompréhension dominaient. L'harmonie dans sa vie n'est pas une option, mais bien un possible.
Je suis toujours très touchée par le courage dont une personne peut faire preuve pour arriver à se redresser même d'une situation de vie douloureuse et pouvoir trouver ou retrouver en elle les ressources pour "créer" sa vie selon sa propre sensibilité et ses besoins les plus précieux.
J'ai beaucoup de gratitude pour ces moments si particuliers en soins ou lors des stages, où il m'est permis de percevoir la beauté de chacun et des liens de coeur qui peuvent être présents.
« Vivre, ce n’est pas se trouver, c’est se créer. » G.B Shaw